Carte blanche : comment jeter un froid en radio

On pourrait croire que l’exercice de la matinale suppose de se lever un peu plus tôt que d’habitude. C’est méconnaître le travail d’écriture qu’une émission de trois heures exige. C’est en réalité BEAUCOUP plus tôt que ce que vous imaginez.

Stan l’a mesuré en remplaçant Sven la semaine dernière. Et une petite demi-heure de sommeil a pu entraîner notre collègue animateur vers une des deux terribles erreurs à ne pas commettre à la radio. Stan l’a mesuré en remplaçant Sven la semaine dernière. Et une petite demi-heure de sommeil a pu entraîner notre collègue animateur vers une des deux terribles erreurs à ne pas commettre à la radio.

Après avoir pris les commandes de deux matinales les semaines précédentes, Stan a pu mesurer combien le travail à fournir est intense, non seulement en préparation technique mais aussi en écriture. Pouvoir proposer à nos auditrices et nos auditeurs des contenus pertinents, à propos, est une tâche très exigeante, surtout à la vitesse à laquelle va le Monde. Il revient sur son expérience intense.

Cette carte blanche est aussi un mea culpa car sous la pression et avec le manque de sommeil, il a commis une des deux erreurs impardonnables en matinale, le AVADA KEDAVRA radiophonique, soit casser la machine à café, soit négliger la température du studio. Est-il allé jusqu’à la double faute ? Spoiler alert : oui mais pas au sens où vous l’imaginez. /sdu


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