Elle n’est pas fan, et pourtant… Rosa Ikni, journaliste à RJB, a regardé l’Eurovision 2025 avec curiosité (et quelques préjugés). Verdict : pas si mal.
Rosa Ikni a particulièrement apprécié les prestations plus épurées, sans fioritures, comme celle de la Suisse, la France ou l’Italie. (Photo : KEYSTONE / GEORGIOS KEFALAS)
L’Eurovision, c’est chaque année le même rituel : des paillettes, des costumes improbables, et un déluge de chansons venues des quatre coins du continent. Un show que certains adorent… et que d’autres fuient à toutes jambes. Rosa Ikni, jeune journaliste à RJB, faisait plutôt partie de cette deuxième catégorie. Mais cette année, elle a pris son courage à deux mains pour regarder le concours, diffusé samedi soir. Résultat : un commentaire à froid, entre scepticisme, étonnement et, peut-être, un brin d’enthousiasme.
Rosa Ikni : « Ce qui m’a marqué positivement, c’est que peu de nations ont chanté en anglais »
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