Seize petits Saint-Bernard ont vu le jour à la Fondation Barry de Martigny (VS) fin novembre. Ces boules de poils sont issues de deux portées différentes mises au monde à quelques jours d'intervalle. Il sera possible de les voir dès la fin décembre.
La chienne Athena, âgée de trois ans et demi, et le mâle de deux ans et demi Dasty, ont engendré neuf chiots - quatre femelles et cinq mâles. Les petits, nés le 20 novembre, auront un nom commençant par la lettre N, indique lundi la Fondation Barry dans un communiqué. La tradition veut en effet que les noms des chiens d'une même portée débutent par la même lettre, et chaque portée à une lettre initiale différente en suivant l'ordre alphabétique.
Les deux parents, nés à la Fondation Barry, sont devenus chiens reproducteurs cette année, précise la fondation. C’est la première portée pour Athena et 'elle s’occupe parfaitement de ses petits protégés'. C’est une chienne très sociable, qui aime être au contact des gens. Elle réalise régulièrement des interventions de chien social dans différentes institutions.
Nouvelle portée en janvier
De son côté, Djune du Grand St. Bernard, issue de la même portée que Dasty, a donné naissance quelques jours plus tard, le 25 novembre, à cinq femelles et deux mâles dont 'elle s'occupe merveilleusement bien'. Le père des chiots est Elias, un mâle provenant, lui aussi de la Fondation Barry, mais qui appartient désormais à un particulier. Les petits porteront des noms commençant par O, qui n’ont pas encore été choisis, précise la fondation.
Dès le 31 décembre, 'il devrait être possible d’admirer les chiots au Barryland de Martigny'. En attendant, l'évolution des petits d'Athena peut être observée au quotidien sur le site internet de la fondation.
La Fondation Barry attend encore de nouvelles naissances, déjà pour début janvier, car la gestation d’'Ann vom Baronenschloss', appelée 'Abby', vient d’être confirmée. Environ 30 Saint-Bernard vivent en permanence à la fondation et une vingtaine de chiots avec pédigrée naissent en moyenne chaque année au chenil. Certains resteront à la fondation pour poursuivre l'élevage. La plupart seront placés dans des familles triées sur le volet.
/ATS