L'an passé, les opérations de fusions et acquisition ont connu en Suisse un niveau élevé. Au total, 395 transactions ont été réalisées avec des participations helvétiques, selon KPMG, soit 9% de plus que l'année précédente.
En cause, les activités record de capital investissement et la pression croissante pour innover et se transformer, explique le cabinet d'audit et de conseil dans un étude publiée mardi. D'autres transactions sont escomptées en 2018.
En revanche, le volume des transactions a lui diminué, à 101,5 milliards dollars (97,8 milliards de francs ), soit 15% de moins qu'en 2016. Les secteurs des biens de consommation, de la technologie et des médias et celui la pharma en particulier ont enregistré de grosses opérations.
/ATS