La presse juge le président de la BNS sincère mais maladroit
Philipp Hildebrand semble avoir plutôt convaincu la presse suisse de sa sincérité après ses explications au sujet des achats de devises de son épouse. Les éditorialistes pensent que la maladresse du président de la BNS ne doit pas impliquer sa démission.Philipp Hildebrand s'est expliqué de manière convaincante, même si cette transparence a aussi mis en lumière sa maladresse, "voire une naïveté certaine", selon "Le Temps". Il conserve légitimement son poste mais il devra redorer sa crédibilité, indique le journal. /SERVICE