Philipp Hildebrand n'avait pas le choix, estime Jean-Pierre Roth
Philipp Hildebrand n'avait pas d'autre choix que de démissionner de son poste, estime Jean-Pierre Roth, son prédécesseur à la présidence de la Banque nationale suisse (BNS). "Il a commis une faute et il en tire les conséquences".Philipp Hildebrand a toléré l'opération sur devises controversée, alors qu'il aurait dû la renverser dès le lendemain, a expliqué lundi Jean-Pierre Roth dans l'émission Forum de la radio publique RTS. Il aurait alors vendu ces dollars, à perte ou avec un gain qu'il aurait reversé à une oeuvre de bienfaisance. /SERVICE