Au lendemain de la victoire de l’Argentine face à la France en finale de la Coupe du monde de football au Qatar, Joël Robert, journaliste RTS présent au Qatar, dresse le bilan du tournoi sur le plan sportif et extra-sportif
Le président de la FIFA (à gauche) Gianni Infantino a sacré le capitaine argentin Lionel Messi dimanche, aux côtés de l'émir du Qatar (photo : EPA/Friedemann Vogel).
La Coupe du monde de football au Qatar a couronné « un beau vainqueur », selon le journaliste de la RTS Joël Robert, présent au Qatar. « C’est la victoire de Lionel Messi qui, dans le cœur des Argentins, devient l’égal de Maradona ou l’a même dépassé », estime-t-il au lendemain de la victoire de l’Albiceleste face à la France aux tirs au but en finale de la compétition. Selon Joël Robert, « la plus belle surprise c’est le Maroc qui arrive 4e de cette Coupe du monde ». En dehors des terrains, alors que les organisateurs dressent un bilan exceptionnel, « je ne dirais pas qu’il est exceptionnel. Il y a eu des points positifs, dans les transports ça s’est bien passé, les conditions de jeu pour les athlètes étaient parfaites », tempère Joël Robert, qui ajoute : « On sait maintenant que la Coupe du monde a été achetée, la climatisation c’était catastrophique, le bilan écologique est catastrophique ». Une compétition « bien faite » mais la Coupe du monde « de tous les excès », résume le journaliste. /mmi-mle
