Le PSG reçoit mercredi Barcelone, en match aller des quarts de finale de la Ligue des champions.
Un nouvel épisode d'une rivalité devenue emblématique face à un adversaire responsable, un soir de 'remontada' en 2017, d'une des plus grandes désillusions de son histoire européenne.
Avec la perspective d'affronter l'Atlético Madrid ou Dortmund en demi-finale, des adversaires a priori à la portée du PSG, atteindre la finale n'est plus du tout impensable.
Mais le premier obstacle n'est autre que le Barça, l'un des clubs les plus titrés de la compétition avec cinq sacres, et un ennemi intime du club de la capitale. La fameuse 'remontada' du 8 mars 2017, quand le PSG avait été renversé 6-1 au retour en huitièmes de finale après l'avoir emporté 4-0 à l'aller, est restée dans la légende et les dictionnaires. Depuis, le PSG s'est vengé, mais sans public, en période de pandémie en 2021 (4-1, 1-1).
Les deux effectifs sont très jeunes, avec une moyenne d'âge autour de 25 ans. Vitinha (24 ans), Bradley Barcola (21 ans) ou encore Warren Zaïre-Emery (18 ans) figurent parmi les armes de Paris: Luis Enrique apprécie les jeunes joueurs, plus malléables mentalement et dans le jeu.
Pour sa part, faute de moyens, le FC Barcelone compte de plus en plus sur de jeunes pépites, comme Lamine Yamal (16 ans) formé au club, à la 'Masia', ou Pedri (21 ans), acheté à Las Palmas, même si ce dernier est très incertain pour mercredi.
Dans l'autre quart de finale entre l'Atlético Madrid et le Borussia Dortmund, Gregor Kobel tentera de faire mieux que Yann Sommer au tour précédent. Avec l'Inter, le portier de l'équipe de Suisse avait vu les Colchoneros revenir à la 87e pour forcer des prolongations et se qualifier finalement après les tirs au but.
De retour après quelques semaines de pause en raison d'une blessure, Kobel s'est incliné contre Stuttgart le week-end passé (1-0).
/ATS