2019, année difficile pour les producteurs de miel. Le constat est le même dans toute l’Europe, de nombreux apiculteurs évoquaient ce week-end « la pire récolte de leur histoire ». Dans la région, la situation n’est pas meilleure, même si l’on évoque davantage une mauvaise année qui fait suite à une longue série d’années exceptionnelles. Les températures fraîches au milieu du printemps sont notamment en cause. Elles ont freiné le développement des ruches, comme l’explique Thomas Laubscher, membre de la Fédération d’apiculture du Jura bernois :
Les colonies de Thomas Laubscher ont donné cette année entre 5 et 13kg de miel, contre 45 à 80 l’année passée. /ast