A 180 degrés : de l'industrie aux pompes funèbres (1/6)

Changer de métier n'est pas toujours facile. RJB s'intéresse cet été à ces trajectoires professionnelles ...
A 180 degrés : de l'industrie aux pompes funèbres (1/6)

Changer de métier n'est pas toujours facile. RJB s'intéresse cet été à ces trajectoires professionnelles parfois surprenantes. Michaël Chételat, de Moutier, a quitté l'industrie pour se rapprocher de la mort

Michaël Chételat n'a jamais été effrayé par la mort. Il ne reviendrait pour rien au monde sur sa décision de travailler dans ce domaine. Michaël Chételat n'a jamais été effrayé par la mort. Il ne reviendrait pour rien au monde sur sa décision de travailler dans ce domaine.

Cet été, tous les jeudis, RJB part sur les traces de destins professionnels particuliers. Des personnes qui ont changé de voie en prenant parfois un virage à 180 degrés. On commence ce jeudi avec Michaël Chételat, de Moutier. Cet ancien responsable de production s’est tourné vers un domaine plutôt particulier, celui des pompes funèbres et des nettoyages après suicides homicides ou accidents. A 41 ans, le Prévôtois explique que le monde industriel ne lui convenait pas. « Je ne me voyais pas continuer à mettre la pression sur des opératrices ou opérateurs, à leur demande toujours davantage, toujours plus vite. Aujourd’hui, j’ai l’impression de faire quelque chose d’utile et qui rend service tout en prenant le temps. »

Rendez-vous jeudi prochain pour la suite de cette série. RJB a rencontré un infirmier anesthésiste devenu conducteur de locomotive. /oza


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