Le Centre interrégional de perfectionnement et le Centre de formation professionnelle Berne francophone présentaient mercredi un catalogue numérique pour recenser les formations continues dans la région du Grand Chasseral et au-delà
Le directeur du CIP Didier Juillerat et celui du ceff Cédric Bassin étaient très enthousiastes lors de la présentation du catalogue numérique à la presse. (Photo : ceff)
Un catalogue numérique pour recenser les formations continues dans la région du Grand Chasseral et au-delà. Avec cette nouvelle offre, le Centre interrégional de perfectionnement (CIP) et le Centre de formation professionnelle Berne francophone (ceff) renforcent leur collaboration. Cette collaboration n’est pas nouvelle, il existait avant cela un programme semestriel commun, imprimé deux fois par année. Certains cours de formation étaient aussi donnés en complémentarité par le CIP et le ceff. D’après Didier Juillerat, directeur du CIP, ce portail amène pourtant une nouvelle dimension au partenariat entre les deux institutions.
« Maintenant, on a non seulement des processus identiques mais aussi une vitrine régionale toujours à jour. »
Deux tiers des Suisses entre 15 et 75 ans ont suivi une formation continue en 2022. Le terme est pris au sens large : on peut développer ses connaissances en suivant des cours pendant quelques jours mais aussi en lisant des livres sur un sujet précis par exemple. Le but du CIP et du ceff est donc de faire de ce catalogue numérique un « guichet d’entrée unique » pour les formations continues des deux institutions. Une manière de simplifier la recherche de cours pour les entreprises et employeurs mais aussi l’occasion de prendre contact pour demander des formations sur mesure.
« C’est une simplification pour les entreprises et employeurs. »
Avec ce portail commun, le CIP et le ceff espèrent ainsi augmenter leur bassin de diffusion. Ce rapprochement entre les deux institutions s’inscrit dans la Stratégie économique 2030. Une ligne directrice pour le développement du Jura bernois et une évidence pour Didier Juillerat : « On est une petite région donc si les acteurs qui sont dans le même secteur commencent à se concurrencer, on n’y arrivera pas ». /ehe
