Beat Feurer et l’UDC biennoise se cachaient derrière l’opération de marketing viral « Bienne ma ville ». Le politicien seelandais a lancé sa campagne pour le conseil municipal à travers une plateforme internet anonyme active depuis quelques jours, ainsi que des distributions de ballons et des graffitis.
A noter que le coup de pub a été récemment détourné par les Jeunes Verts, qui ont complété les énigmatiques inscriptions pour former le slogan : « Bienne, ma ville est tolérante ». /tsc