De gauche à droite, Loïc Terrier, Maurane Riesen, Yoan Mérillat
Le MUJ milite en faveur des maires. Le mouvement universitaire jurassien estime que les élus ont le droit de défendre leur opinion dans le dossier de la Question jurassienne. Cette déclaration fait suite aux prises de position exprimée notamment par Stéphane Boillat, maire de Saint-Imier, ou Viriginie Heyer, mairesse de Perrefitte. Tous deux sont engagés dans des comités en vue du vote du 24 novembre, ce qui ne manque pas de provoquer des critiques de la part de certains partis politiques. Le MUJ souhaite un débat respectueux et cordial, ce qui implique selon le mouvement que tout un chacun, élu ou non, puisse exprimer son avis librement. /ast
