De nombreux responsables d'institutions et élus politiques de la région ont assisté à une partie de la séance du CJB mercredi soir à Tramelan. Les invités ont pu profiter d'une présentation sur les possibilités de subventionnement dans le sport ou la culture notamment
L'auditorium du CIP affichait complet mercredi soir pour la séance publique du CJB.
Le Conseil du Jura bernois a attiré un public nombreux mercredi soir pour sa séance plénière à Tramelan. 80 personnes ont répondu à l’invitation de l’institution régionale et ont assisté à la première partie de la réunion qui s'est tenue au CIP. L’audience était composée essentiellement de représentants du milieu politique et d’institutions du Jura bernois. Après des débuts difficiles et peu fructueux, cette troisième séance publique a rencontré un fort engouement. Une satisfaction pour le président du CJB, Cyprien Louis : « On ne s’attendait pas à avoir une salle comble et on a même dû refuser du monde ».
Cyprien Louis : « C’est important pour le CJB d’être un maximum visible »
Les invités ont pu profiter d’une présentation axée sur la thématique des subventions. Plusieurs acteurs du canton ont présenté les possibilités offertes en matière de financement dans le domaine du sport et de la culture, grâce notamment aux fonds qui émanent des jeux d’argent. L'an passé, la somme disponible se montait à 70 millions de francs pour l'ensemble du canton de Berne.
Après la ronde des questions, le public a été prié de quitter la salle... mais alors à quand une séance 100% publique ? Selon Kim Seiler, secrétaire générale du CJB, la décision dépend des affaires à l'ordre du jour : « Les sujets du domaine exécutif doivent être traités à huis clos ».
Kim Seiler : « Ce qui relève du législatif peut être ouvert au public »
Après ces trois éditions de séances semi-publiques, le Conseil du Jura bernois entend tirer un premier bilan. La formule sera, quoi qu'il en soit, reconduite à l’avenir, avec quelques ajustements si besoin. L’objectif de la démarche consiste à améliorer la visibilité du CJB auprès des acteurs régionaux et de la population au sens large. /nme
