Camille Bloch surveille de plus près ses noisettes que son cacao. Dernièrement, la presse romande s’était émue de la raréfaction des fèves de cacaoyer à l’horizon 2020. Une inquiétude que ne partage pas le fabriquant des barres Torino et Ragusa basé à Courtelary. La hausse du prix du cacao sur le marché, causée par une baisse de la production, n’impacte pas Camille Bloch, qui bénéficie du franc suisse fort - et donc d’un pouvoir d’achat plus élevé sur les marchés. Les noisettes par contre, avoue-t-on du côté de Courtelary, sont parfois bien plus compliquées à trouver. /tsc
Le franc fort aide les chocolatiers
Camille Bloch surveille de plus près ses noisettes que son cacao. Dernièrement, la presse romande ...
RJB