Elle peut communiquer avec les esprits du monde invisible. Elle les appelle ses « guides spirituels ». Diana Varisco pratique la médiumnité et en vit aujourd’hui
Diana Varisco peint l’auragraphe pendant la consultation, à mesure qu’elle en apprend davantage sur son client grâce aux guides de l’au-delà.
Elle peut communiquer avec les esprits de l’au-delà et trouver des réponses à nos questions. Diana Varisco est médium. La Prévôtoise a découvert ce talent après avoir traversé de nombreuses épreuves dans sa vie. Elle le met aujourd’hui au profit des personnes endeuillées ou simplement perdues.
Notre chronique hebdomadaire sur les métiers hors du commun nous amène à Moutier, à la découverte de la médiumnité. Pour Diana Varisco, être médium signifie faire le lien entre la matière et ce monde « invisible ». Par monde invisible, il faut comprendre l’au-delà, ce qui existe après la mort selon certaines croyances.
Diana Varisco : « J’accueille toute personne, quelles que soient ses croyances et sa manière de penser »
L’auragraphe : une interprétation artistique de l’aura
RJB s’est prêtée au jeu en prenant part à une séance de spiritisme. Diana Varisco peut contacter un proche décédé de la personne qui fait appel à ses besoins. « Je ne choisis pas à qui je parle, mais dans 99% des cas, il s’agit de l’être cher avec qui le client souhaite communiquer ».
La médium propose également de peindre un auragraphe, soit une interprétation artistique de l’aura et des corps énergétiques. Démonstration :
Diana Varisco : « Le monde invisible vous connaît mieux que moi je ne vous connais »
La médiumnité n’est pas un don, c’est un talent que l’on peut développer, assure Diana Varisco. Cette pratique sera d’ailleurs présentée lors de visioconférences les 16, 17 et 18 décembre prochains.
La semaine prochaine, La Matinale part à la découverte du métier de comportementaliste animalier. Rendez-vous mercredi à 7h15. /ddc
