Premières décisions pour le dialogue sur l’axe ouest

Le groupe de dialogue chargé de discuter du contournement ouest de Bienne a pris ses premières ...
Premières décisions pour le dialogue sur l’axe ouest

Le groupe de dialogue chargé de discuter du contournement ouest de Bienne a pris ses premières décisions lundi soir. Il a approuvé ses statuts et discuté d’une possible manière de procéder

 Le dialogue concernant le contournement ouest de Bienne a donné lieu à de premières décisions lundi soir. Le dialogue concernant le contournement ouest de Bienne a donné lieu à de premières décisions lundi soir.

Une première étape franchie pour le groupe de dialogue chargé de discuter du contournement autoroutier ouest de Bienne. Il s’est réuni lundi soir et les débats ont abouti aux premières décisions. Les statuts ont été approuvés et des discussions ont été menées concernant la manière de procéder, selon un communiqué transmis par le comité « Axe ouest pas comme ça ».

Concernant les statuts, ils posent un cadre clair : l’équipe centrale et le groupe de dialogue aspirent tous deux à parvenir à un large consensus, prennent des décisions à l’amiable et ne votent pas. Selon « Axe ouest pas comme ça », ce principe a déjà fait ses preuves lors de précédentes séances.

À propos des débats de lundi soir, le comité précise qu’ils se sont tenus « dans une ambiance constructive axée sur la recherche de solutions ». Il ajoute « qu’une large adoption des solutions proposées ne pourra être obtenue qu’à la condition qu’elles soient élaborées en commun et dans un processus transparent ». Partisans et opposants se sont retrouvés sur ce point, « malgré la résistance de représentants isolés des autorités qui ont déjà à plusieurs reprises exigé une procédure rapide par vote ». Le comité rappelle « qu’aucune solution susceptible d’être acceptée par une majorité n’a pourtant jamais été obtenue dans l’urgence par le passé ».

Lors de cette séance, un appel à n’écarter aucune variante a à nouveau été lancé. Il a aussi été demandé que « les études ne soient pas menées que du point de vue des ingénieurs en mobilité, mais aussi en tenant compte des préoccupations environnementales, sociales, économiques et urbanistiques ». /comm-ast


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