Le projet « Avenir Berne romande » peut être optimisé, dit une commission

La Commission des institutions politiques et des relations extérieurs soutient les principes ...
Le projet « Avenir Berne romande » peut être optimisé, dit une commission

La Commission des institutions politiques et des relations extérieurs soutient les principes d’ « Avenir Berne romande ». Elle demande toutefois quelques améliorations en lien avec l’aménagement des locaux provisoires

Le bâtiment Bel-Air 20 à Reconvilier servira de solution transitoire pour les services du Tribunal régional du Jura bernois. (Photo : archives) Le bâtiment Bel-Air 20 à Reconvilier servira de solution transitoire pour les services du Tribunal régional du Jura bernois. (Photo : archives)

« Avenir Berne romande » est une stratégie élaborée avec le plus grand soin pour assurer la continuité des offres et des services dans le Jura bernois. La Commission des institutions politiques et des relations extérieurs (CIRE) s’est exprimé en ces termes au sujet du projet. Elle a examiné le rapport en vue de la session de printemps du Grand Conseil. Pour la CIRE, les mesures proposées tiennent compte « de manière appropriée » des besoins de la population dans les différentes régions. Elle souligne qu’il est nécessaire de trouver une solution qui respecte au mieux le calendrier et les contraintes financières notamment. Un point qui concerne surtout deux des futurs pôles décidés dans le cadre d’ « Avenir Berne romande » : l’administratif à Tavannes et le judiciaire à Reconvilier.


Attention aux coûts

La Commission relève particulièrement un point qui mérite, selon elle, d’être approfondi. Cela concerne l’aménagement des locaux provisoires prévus pour la période transitoire et les frais liés. « S’il est possible d’abaisser les coûts du projet, les économies doivent porter prioritairement sur les locaux provisoires », note, à ce titre, la CIRE. A ce sujet toujours, la Commission dit comprendre les raisons qui ont poussé les auteurs du projet « Avenir Berne romande » à écarter les sites de Prêles et de Bellelay comme solutions temporaires. Elle souhaite toutefois que le Grand Conseil soit informé, d’ici à la session d’automne 2023, « des utilisations envisageables ultérieurement » pour les locaux vides de ces deux lieux. /comm-amo


 

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